Scénarios pris

— identité et caractère —

tw; drogue et alcool, mention de maladie (tragédie), violence, manipulation mentale (pouvoir), sexe, langage grossier

informations identité — Luz, lumière incandescente de son petit monde, néon électrifiant qui aveugle, à jamais une impression de n'être que simple passagère dans son existence brûlante. Cenamor, coutume hispanique du nom maternel hérité, précieuse connotation de liberté, animal nocturne se complaît dans la bénédiction des étoiles. Katalina comme nom d'usage, héritage paternel au goût enivrant de l'amour, douceur éphémère dans ses yeux incandescents, passion ultime de myriades d'émotions que la délicieuse soulève.  naissance — 25 yo, les années construisent son charme. Elle se délecte du temps et joue avec la vie pour ne jamais regretter la mort. ((Escalona, Espagne)) À peine prise la première inspiration que le convoi repart, la maternelle coince l'enfant contre son sein et ébranle la caravane qui repart dans une secousse. origines — Hispanique à la peau dorée, l'accent chantant, la passion débordante, au caractère latin. coventus — Fraîchement débarquée dans le Coventus de la divinité vénérée Haseus, s'impose au milieu du décor, grapille place de choix qui ne teintera pas sa liberté prisée. ((rôle au choix)) occupation — À jamais défaite des obligations, n'exerce que pour satisfaire une attente minimale. Baigne dans les passions multiples, se laisse porter par l'envie présente; ainsi brûlera l'asphalte dans l'adrénaline des courses pour remporter un brillant pactole ou celles improvisées par les deux idiots qui les emmèneront en dehors des barrières de la ville. Créatrice de veneno de vena pour consommation personnelle quand elle veut que sa peau respire et que ses lèvres frémissent. Voleuse pour la simple envie d'adrénaline, le rire tonitruant et la folie des billets verts brûlants selon ses caprices. Défaite de toutes obligations sauf celle du Coventus rejoint. statut civil — La Reina sur son trône, domine de sa volupté les deux chanceux, Valente et Adán, cordon rouge liant leurs âmes, jamais l'un sans les autres, indomptable passion qui transcende le temps. Torture discordante que de s'éloigner trop longtemps de leurs yeux, les trois chairs contre chairs, palpitants échangés, impossible de ne pas communiquer qu'importent le moyens. "why is he not answering?" "how long has it been?" "one hour and fourteen minutes" "oh ma god he dead". orientation sexuelle — Qu'importe, addict de ses deux astres, ombre et feu dans les entrailles, le Saahr et le Rhiat pour son plus grand malheur, l'un explosif, l'autre idiot, comment ont-ils pu acquérir l'intérêt ? Mystère. familier — Libre avec une règle : l'animal se doit d'être rapide pour suivre le trio dégénéré. magie — Aquakinésie, Troisième temps, aucune tragédie de prévue.

caractère Dominante ; Fière ; breaking down only when i'm all alone, do i cry out loud ; Exigeante ; Brillante ; porteuse des seuls neurones fonctionnels ; Inattendue ; Inquiète ; can i get a yes your majesty ; Perfectionniste ; Egoïste ; you like my hair? gee thanks, just bought it ; Possessive ; Attachante ; Débrouillarde ; i'm not mean, you're too sensitive ; Autoritaire ; Impitoyable ; keeping my sunglasses on when i shed a tear ; Attentive ; Fiable ; is the sole reason they're still alive ; Anxieuse ; Virulente ; won't let anything happen to them ; Tenace ; Passionnée ; Nerveuse ; i just want everything to be fine.

idéologie se contrefiche globalement des humains et de ce qu'il peut se tramer hors de sa vie trépidante.

— grandes lignes —


Akelarre Petite communauté ayant vu le jour sur les terres arides espagnoles, rêve idéaliste d’une famille vénérant Isneih, pour seul but les découvertes, voyage dans le sang, bitume pour seule vocation, loin du dictate des lois, loin des communautés où ils n’avaient pas leur place. Agrandit au fur et à mesure des mariages, de ceux abandonnant une vie trop casanière, ceux ayant besoin de fuir leurs problèmes, les rangs gonflent et dégonflent lorsque la progéniture quitte le cocon, aucune obligation, liberté adulée. Les années passant apportent malheureusement son lot de drames, certains vont trop loin, plus le nombre augmente, plus il est difficile de maintenir un équilibre, se fait moins discret, soulève l’inquiétude des autres communautés pour leur tempérament et leurs frasques mettant en péril le secret sorcier. Officiellement dissoute en 1892, officieusement six familles proches protègent le flambeau, dorénavant impossible de gonfler les rangs sauf par alliance, certains élus y trouvent refuge lorsque la grande prêtresse accorde un temps qui connaîtra irrémédiablement une fin, matrone du troupeau, élue par chaque descendant des familles pour préserver le sacré. Détachés de toutes idées de Coventus, il n’est pas rare pour ses membres de vénérer plusieurs déités malgré la place importante de celle choisie, plus rare de changer en cours, importance trop grande accordée à leur magie qui est leur principale source de revenu. Généralement voleurs, arnaqueurs, receleurs, vendeurs de substances illicites créées à l’arrière des caravanes dont les humains pâtissent, proies de choix lorsqu’ils ne savent pas ce qui les frappe. Lorsque les tragédies sont apparues, si le groupuscule y a longtemps échappé, elles ont finit par frapper les leurs, mettant en péril leur équilibre, lourde décision votée à l’unanimité de bannir ceux atteints du fléau; si le banni se voit ainsi éjecté, les membres prennent toujours des nouvelles et envoient de l’argent en soutien. Once an akelarrian, always an akelarrian. Elle commence à être reconnue à nouveau, certains y croient, d’autres non, certains en ont entendu parler, d’autres restent dans l’ignorance, l’Akelarre n’est pour beaucoup qu’une légende, un mythe, un oasis pour ceux ayant désespérément besoin de disparaître.

Roson, Dávalos, Katalina forment les 3 familles faisant partie des 6 originelles. Le paternel Roso et les maternelles Dávalos et Katalina forment un trio inséparables depuis l’enfance, ont décidé de procréer dans le même laps de temps afin de rendre plus facile la tâche, erreur de calcul et dame nature capricieuse, chaque gamin aura un an de différence. Pourtant lorsque la dernière rejoindra la communauté, le soir-même autour du feu improvisé avec une bière en main, la mère Roson annoncera avec fierté que la précieuse briserait le cœur des deux garçons.


Enfance Mère affective mais dure, pas un gène d’instinct maternel en son sein, a refilé à la gamine un boulon comme jouet lorsque cette dernière n’arrêtait pas de chouiner quémandant attention. Précieux objet gardé et adulé encore aujourd’hui, fièrement porté en collier. Rejeton capricieux, jalouse l’attention qu’on donne aux autres, ainsi mord et frappe un Val insouciant lorsque Adán, son meilleur ami à elle, lui parle pendant trop longtemps, haine viscérale pour l’innocent qui n’a généralement esquissé aucun geste pour recevoir cette déferlante de violence. Bercée par la route, salis par les aventures, la blondinette est éduquée par les différentes personnalités du groupe, souvent baby sitté par le vieux Paco, vendeur d’ananas, qui lui fait des tresses hideuses et la laisse gambader partout avec les deux autres gamins. Père plus présent lorsqu’il n’est pas parti vagabonder sur les océans, éduque sa princesse d’amour et de tendresse, lui conte les aventures d’une déesse éprise de celui qui protège sa communauté, obsession naturel, lorsque ses mains d’enfants contrôle le liquide pour la première fois, dans une énième tentative de noyer un pauvre Valente, on célèbre son choix le soir même. De la même manière, à ses 10 ans, elle entre dans une grotte lugubre et s’associe à son familier sous le regard bienfaiteur de la prêtresse.


Années frivoles de l’adolescence Abandonnée l’enfance sur le bas trottoir d’un pub irlandais, premières cuites imprévus, les trois finissent par planter une voiture volée dans un arbre quelconque et s’allongent dans un champs non loin, ricanant comme des idiots, et quand Adán la fait tourner un peu trop vite et qu’elle finit par dégobiller au milieu des patates forçant un Val pas très stable sur ses pieds à lui tenir les cheveux, c’est le moment où il a enfin réussit à grappiller l’affection de la vicieuse qui a depuis arrêté ses tentative -sérieuse- de meurtre à son égard. Le petit club se fait incontrôlable pour un Paco déjà dépassé qui n’essaye même plus, se contentant de les gaver de pâtes à l’ail et d’ananas pour être certains qu’ils sont en bonne santé. Affection grandissante pour Adán, premiers émois d’adolescente, tactiles, finit souvent par passer ses gracieux doigts dans les boucles du brun. Désir étranger pour un Valente qui commence à grandir, les yeux qui s’attardent sur la peau hâlée, n’empêche pas de se foutre ouvertement de sa gueule lorsqu’il laisse pousser ses trois maigres poils de moustache. Commencent à commettre de petits larcins, plus la magie grandit, plus ils profitent des dons divins, les parents sont finalement mis au courant lorsque l’un des plans foirent et sont retrouvés au poste le plus proche. Engueulade qui n’en finit pas, comment ont-ils pu être assez bêtes pour se faire prendre?? Et puis il y eut l’énième cuite, pour fêter les 15 ans de la dame, cadeau de personne offert, ils se mettent à ses pieds et la laissent choisir le déroulement de cette nuit d’enchantement. Souvenir qu’elle décide de faire graver sur chacun de leurs fessiers, tatouage d’une reine de coeur pour son inestimable personne, l’as de trèfle pour le précieux, et lorsque vient le tour de l’abruti, l’idée est prononcée de le faire as de pique mais pacte avec le tatoueur qui modifie la chose en valet, et elle s'esclaffe comme une sorcière devant le regard horrifié de Val. Et plus tard, dans l’heure avancée, lorsque la chance lui sera donnée de se venger et que l’incongru partagera un baiser avec Adán, cela entraînera un jeu qui finira par une première fois partagée à trois, un secret précieusement gardé qui endommagerait leurs relation, teintant l’enfance innocente d’une connotation qu’ils n’étaient pas prêts à comprendre.


Maturité de l’adolescence Gardent la face devant les parents les gamins mais le vieux Paco il voit, ses petiots ils sont malheureux, viennent plus le voir ensemble, et d’aussi loin qu’il les connaît, les a jamais vu l’un sans les autres. Alors quand Val lui présente une demoiselle quelques semaines plus tard et qu’il reçoit la visite furieuse des deux autres derrière, il fût le premier à voir le coeur de Luz se briser, ne pouvant lui offrir qu’une pauvre tranche d’ananas en réconfort, fût le premier à calmer la rage incendiaire de Adán et lorsque quelques jours plus tard Luz présenta un à son tour un garçon, il fût le premier encore à voir le coeur de Adán se briser, et encore une fois, maigre tranche d’ananas pour panser la plaie. Et la solaire Luz, perdue dans les affres d’émotions trop importantes pour son cerveau d’adolescente laissa le garçon faire d’elle sa poupée. Essuya les remarques misogynes sans broncher, se fit esclave de ses désirs en baissant les yeux. Et lorsque Adán posa ses yeux sur cette mascarade, le meilleur ananas du monde n’aurait pu le convaincre de ne pas se laisser dépasser par sa rage. Le soir même, Adán tira Val hors de la caravane de sa pimbêche pour seule raison “Luz a besoin de nous” coupant court à toutes tentatives de fuite, ainsi ce fameux soir même, le risible fût piégé par le duo qui lui firent passer l’envie de se rapprocher à moins de cent mètres de la divine blonde. Houleux passage à tabac qui impliqua bientôt les membres de la communauté qui laissèrent un choix à la famille du garçon de passage, fuir ou faire face à la maternelle Katalina qui ayant eu vent du traitement hurlait à plein poumons, difficilement retenu par la magie de la prêtresse d’Isneih. Et dans ce chaos total, lorsque Luz remercia Adán d’un impromptu câlin, il se fit intransigeant, inquiétude grandissante, refusa le cadeau, il la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle n’avait pas besoin d’eux pour se débarrasser de l’idiot, aurait pu– du le faire plus tôt et devant son silence pesant, lui rendit finalement son étreinte en lui murmurant que jamais elle ne devrait se montrer faible simplement pour plaire. Le lendemain soir, lorsque la famille eut désertée les lieux et que les choses furent apaisées, lorsque Adán recréa un chaos digne de lui en brûlant la voiture de la pimbêche de Val, Luz se trouvait à ses côtés, souriant simplement. Et lorsque trois jours plus tard, après avoir arrangé la situation entre les parents des gamins, Luz tenta de noyer la pimbêche, Adán essuyait presque une larme de fierté à ses côtés. Et lorsqu’une semaine plus tard la famille de la pimbêche quittèrent enfin la communauté, Luz et Adán étaient main dans la main, lorgnant un Valente mal luné qui les envoya royalement paître, incapable de comprendre pourquoi il n’était pas en colère contre eux mais soulagé. Et Luz finira de le piéger en jetant Adán et elle-même contre un pauvre bougre dans une boîte mal fréquenté d’allemagne sous les yeux courroucé d’un Val qui les rejoindra la nuit même dans une étreinte qui les laissera incapable de renoncer à la nouvelle addiction. Et dans la lueur du matin émergeant, les membres entrelacés, les deux connurent une micro crise cardiaque lorsque Adán hurlera “TOOK YOU LONG ENOUGH”.


Jeunes adultes C’est un Paco soulagé qui les reverra bientôt à trois, les goinfrant à nouveau d’un fruit à la forte tendance à ne plus du tout passer. Habitudes reprises, nuitée agitée à peaufiner leurs aptitudes de petits délinquants pour passer un cran au dessus, survolant bientôt les paliers, forçant des coffres forts bien gardés, dévalisant petite supérette avec trois grammes dans le sang, forniquant sur une voiture volée pour bien la baptiser sous l’influence de veneno de vena, fuyant les retombées, sacs de billets mal fermés en main, familiers les dépassant pour rejoindre les bolides, adrénaline dans les veines, ils fument la vie avec un délice certains, se moquent de ceux qu’ils voient trimer, laissant un tourbillon d’éclats de rire dans leurs sillage. Those were the happiest time.


Adultes Ils vivent, bien plus que n’importe quel humain ne peut s’en vanter, vivent à toute allure, seuls barrières celles imposées par leurs bon vouloir, une seule brisée par la Luz capricieuse, qui s’amuse a attisé le désir de ses deux amants en charmant de pauvres innocents. Une passion délectable qui les suit, passion qui croit chaque jour bravant l’impossible, indéniable attraction qui les pousse à ne jamais s’éloigner, rares occasions qui les voient devenir fou d’inquiétude lorsque l’un ne répond pas aux messages dans la minute, se consumant d’amour pour une simple photo reçue du repas prit sans la compagnie. Le triste jour où Paco décède, tatouage d’une blague d’enfants “Paco’s gang” sur leurs peaux, promesse de ne jamais infliger telle souffrance, promesse de s’embrasser dans la mort. Promesse qui aura bientôt un goût de cendre.
Aucun signe annonciateur, une simple nuit de plus partagée sur le toit du van des Katalina, une Luz qui observe un échange passionné, un Adán qui lui rend son regard, un Val perdu dans les affres du plaisir, les yeux embués, yeux qui virent au rouge doucement. Adán est le premier à percevoir le danger, brûlure au toucher direct, s’éloigne, Luz se relève et n’a pas le temps de réfléchir qu’un chaos s’enchaîne, Adán reçoit la majorité des coups, Luz hérite de sombres brûlures mais la tempête endiguée, quand enfin la respiration se refait normale, le silence pesant s’installe comme un poison. Elle tente de parler, voit dans les yeux d’Adán qu’il cherche blagues à lâcher, mais la résignation dans de Val force un sanglot et elle modifie sa mémoire, efface le souvenir. Pacte entre les Luz et Adán, endiguer les crises et modifier les souvenirs de Val sans qu’il ne le sache, forçant le Saahr à vivre dans une illusion contrôlée par ses amants qui savent qu’au moment où son esprit sera maître de la tragédie, il les délaissera. Maladie de plus en plus difficile à cacher aux membres de la communauté qui les sépareraient de l’amant. Alors lorsque le groupe s’arrête près de la communauté galloise, que Adán tombe amoureux du coventus des rhiat et propose de se poser, il suffit à la blonde de faire un tour pour faire la connaissance d’un groupe de médecin se spécialisant dans le traitement de ce fléau, elle accepte immédiatement. Le groupe s’installe rapidement dans une communauté dont ils n’ont aucune connaissance, forcé de rejoindre un coventus affilié à leur déité principale, Adán est comme à la maison, Valente réussit à charmer ses membres et Luz… Luz se fait tâche dans un décor cristallin, un coventus auquel elle doit se rattacher lorsqu’ils ne cautionnent pas les rhiat et leurs courses, courses auxquelles elle s’abandonne depuis qu’elle a volé sa première voiture. Mais la dame n’est pas femme à abandonner, elle casse les pieds, envoie bouler et n’aide pas à passer inaperçu, tâche déjà compliqué avec leurs habitudes, croyances, fort accent et tendance à sauvage. Mais rien n’est insurmontable tant qu’ils sont près d’elle, tant qu’elle peut poser sa main sur le torse de Val et sentir son coeur battre pendant que Adán ronfle légèrement sur sa poitrine, main glissée dans ses cheveux.

— liens du personnage —

as de trèfle @"Adán Dávalos" — non-négociable
L’insouciance de l’enfance; un simple regard échangé, un sourire entendu et les voilà déjà inséparables dès les premiers mots prononcés. “What’s this?” – “Mum gave me a nut and bolt” – “That’s dumb.” – “Fuck off.” Adán et Luz, Big Bang de leur univers bientôt rejoints par Val. Adán et Luz, l’innocence absolue, la vérité jamais cachée, l’affection pure. Adán et Luz, les émois d’un premier baiser, les confidences d’adolescents. Adán et Luz, la passion commune d’un Val incandescent, le partage sans condition. On ne saurait dire qui des deux a mis le grappin sur Val en premier, mais les trois se sont emmêlés dans le filet, sans jamais avoir cherché à s’en défaire. Adán et Luz, c’est une main tendre dans les cheveux, des discussions tard le soir, des crises de panique calmées, des fous rires et un attachement hors-du-commun. Elle est le roc, Reina de leurs cœurs, et deux trois corps qui ne peuvent s’empêcher d’être en contact permanent.

((Some little cousin: Val told me he wanted to practice eating out. Did he mean at a restaurant?
Luz:
Adán:
Luz: Yes he does.
Adán: No chiquito. He meant-
Luz: Yes. He. Does.
--
Adán: Luz and I are so close that we share a toothbrush.
Luz:
Luz: We what))

valet de pique @"Valente Roson" — non-négociable
Tout a commencé quand l'idiot lui a volé son précieux boulon et que les adultes ont du les séparer lorsque la garce lui a enfoncé la tête dans une flaque pour l'étouffer en représailles. Un bien bel il 'était une fois'. Tempérament similaire, fire vs fire, l'enfance partagée pour unique raisons: l'âge et Adán. Incompréhension total lors du premier baiser échangé, joues rouges et foutues papillons dans le bide -- je t'aime, moi non plus -- l'imbécile a mit un , trop long, moment à comprendre l'évidence quand elle s'en est éprise, au grand désespoir du troisième. Relation tumultueuse, c'que la bestiole mord toujours, relation bancale pour ceux qui n'en font pas partis -- leurs manières de se dire je t'aime.

((Luz and Adán entangled
Val: Really??
Adán: What?
Val: I have to go to work.
Luz: Seems like a you problem big boy.
--
Luz forced to wear a pink flowery dress for a wedding
Val: wheezes
Luz: I will throw you.
Val: I mean you can try.
Adán: I love seeing you two flirt.))

— ce que j'attends —
Création commune entre deux p'tits cerveaux connectés, ci-dessous seront listés les points négociables comme ceux non négociables. Dans l'idée nous aimerions simplement quelqu'un qui non seulement a été irrémédiablement attiré par la demoiselle mais aussi qui n'hésitera pas à se l'approprier tout en comprenant la dynamique. On se doute qu'il y a beaucoup d'informations à digérer entre la communauté itinérante inventée, la vie des deux loustiques totalement intriquées à la sienne, donc il ne faudra pas hésiter à nous contacter pour plus d'informations ou pour simplement feelser ensemble (sur discord ce sera à risque et péril vu l'amour du spam qu'on a mais néanmoins avec plaisir :heart2:). Petite précision sur le personnage de Val qui n'est effectivement pas encore présent mais dont l'histoire est écrite, futur TC de @"Necrose De Santis" : absence justifiée par un voyage transactionnel pour son Coventus. Concernant l'activité, suite à quelques soucis rencontrés, nous n'hésiterons pas à libérer le scénario si nous ne voyons aucun effort, néanmoins rassurons-nous, on a tous une vie, nous n'exigerons pas un RP par jour, un par semaine serait incroyable, toutes les deux semaines est bien évidemment tout à fait acceptable aussi (ne pas prendre exemple sur Hecate qui pond plus vite qu'elle ne réfléchit). :stp: Petite avance : ce qui est négociable l'est, ce qui ne l'est pas ne l'est pas, ça fait beaucoup mais malheureusement elle a été créée ainsi en même temps que les deux autres, ce qui rend beaucoup de points inchangeables. On espère sincèrement qu'elle fera chavirer ta jolie plume pour rejoindre les nôtres dans une folle aventure. :lovely:

PACO'S GANG.  :music:  :music:  :music:

infos importantes âge et lieu de naissance — 25 ans non négociable, l'idée est qu'ils ont réellement été élevés ensemble. Pour la ville, on a décidé Escalona en tapant au pif sur Google Maps - Espagne donc c'est tout à fait modifiable tant que ça reste en Espagne, principale route de la communauté itinérante. nom et prénom — Modifiable en restant cohérent, elle est espagnole. Pour le nom de famille, il en faudra deux, un d'usage et un de l'autre parent comme nos deux gugus. coventus et magie — Modifiable pour le suivant : Orrhun, en rapport avec la magie de l'aquakinésie, choisie pour le lien avec la tragédie de Val (modification de la mémoire pour le faire oublier sa maladie). Les rôles à l'intérieur sont au choix aussi, mais il faut garder en tête que la demoiselle a beaucoup d'occupations et n'est pas dans la communauté depuis très longtemps, donc ne pourra prétendre à un poste de trop grande importance. occupation — Non négociable pour celles déjà notées, tout à fait possible d'en rajouter d'autres, encore une fois en restant cohérent, faites-vous plaisir. statut civil et orientation sexuelle — Non négociable, elle est dans un trouple qui, malgré les apparences, est stable depuis des années maintenant, ont essayé d'aller voir ailleurs mais sont incroyablement jaloux et possessifs entre eux. Pour l'orientation, elle est au choix tant que la dame apprécie les hommes. idéologie — Comme indiqué, les trois vivent dans leur bulle. Chez les Akelarre, on privilégie une idéologie conservatrice pour garder le secret, mais c'est libre. caractère et histoire — Hormis respecter ce que l'on a indiqué, l'idée c'est que tu te l'appropries donc n'hésites pas à développer tout ça, rajouter ce qui te passe par la tête, tant que tu as compris le dynamisme et les bases, fais-nous rêver :hmmm: faceclaim — Sadly, non négociable, en créant le tout, on est tombé amoureux d'Ester Expósito; en plus, des crackships sont déjà faits (ici) si jamais y a besoin d'un petit coup de pouce pour te convaincre :moqueur: tragédie — Puisque Valente est déjà atteint d'une tragédie et qu'il s'agit d'un arc important de cette création, on pense qu'il est préférable qu'Adán et elle ne soient pas atteints eux-mêmes d'une tragédie. crédits — avatar by hemerasmoon ; gifs by estersource.