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the forgotten city
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AINSI NAQUIRENT LES PREMIERES DIVERGENCES
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▬ sorciers et sorcières

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coventus de qheer
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Généralités
«Il n'y aura après nous que le néant de nos Divins.»

système de races Dans notre contexte, l'Homo sapiens se décompose en 3 races distinctes. Au début du monde, Navnah créa la Première Race, les Envoûtants, qui peuplait la Terre avant tou(te)s les autres et maniaient la paradoxokinesis. Iels devinrent rapidement une menace pour les autres Divins, enfants de Navnah, qui les exterminèrent. Alors Navnah fit naître Cethis, qui sculpta la Seconde Race, les Hommes. Iels devaient vénérer les Divins, mais iels se détournèrent d'elleux. Alors Navnah intervint une dernière fois et fit naître la Troisième Race, les Sorciers et Sorcières, qui arpentent encore la Terre aujourd'hui, et qui offrent leurs pensées aux Divins.

physionomie Les Sorciers et Sorcières possèdent une structure anatomique semblable à celle de l'Homme, à quelques différences près. Tout d'abords, iels sont dotés d'un charme supérieur à la moyenne, qui leur permet d'obtenir une grande attention de la part des Hommes. Iels possèdent également une quantité plus importantes de gènes, qui apportent des modifications légères à leur corps : couleurs des yeux hors du commun, allant du jaunâtre au violacé, des sens un peu plus développés et une immunité plus importante contre les maladies.

privilège et bénédiction Les Divins veillent constamment sur les Sorcier(e)s et entretiennent un lien magique avec elleux. Ainsi, lea Sorcier(e) reçoit comme don la magie associée au Divin qui le protège. Il existe deux formes de lien : le lien Privilège, qui lie le Divin et lea Sorcier(e) dès la naissance, et le lien de Bénédiction, qui s'obtient après la naissance, par la demande.
Comment fonctionne la Bénédiction ? Elle se reçoit à la demande d'un(e) Sorcier(e) qui désire abandonner son Divin pour obtenir les faveurs d'un autre. Pour se faire, iel doit prier pendant une longue période, jusqu'à obtenir l'attention du Divin. Celui-ci lui offre sa Bénédiction en lui envoyant un signe : par exemple, Dohva enverra un courant d'air chaud enlacer lea Sorcier(e). Il est cependant possible que le Divin ne réponde pas.


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Moeurs
«Ils te diront que tu es différent, et ils auront raison.»

croissance Un(e) Sorcier(e) naît en tant que tel(le), de l'union de deux parents Sorcier(e)s, d'où leur rareté aujourd'hui. Iel reçoit le Privilège de l'un des Divins de ses parents, à égale probabilité. Pendant son enfance, sa magie apparaît et se développe. Il reçoit les préceptes de ses parents ou d'un(e) professeur(e), qui le guidera dans la manipulation de sa magie. Au sein de la Communauté existe ainsi l'Institut de la Communauté, rassemblant des professeur(e)s expérimenté(e)s représentant tous types de magie, que les enfants rejoignent.

institut de la communauté Celleux qui grandissent au sein de la Communauté en rejoigne l'Institut dès l'âge de 15 ans. Lors de leur arrivée, iels participent à la Cérémonie de l'Union. Cette cérémonie vise à les unir à leur Divin et à leur Coventus de manière concrète. Iels peuvent choisir de demeurer auprès de leur Divin de Privilège, ou de s’écarter de ce chemin (ce qui conduit souvent à une forme de déception parentale) en choisissant un autre Divin, qui devra accepter de leur offrir sa Bénédiction. Iels étudieront la magie au sein de l'établissement jusqu'à leur 20 ans avant de rejoindre leur Coventus en tant qu'apprenti(e)s, et de recevoir leur Familier.
L'année scolaire suit le même schéma que celui de France, pour plus de simplicité, donc les mêmes périodes scolaires, les mêmes périodes de vacances, et les mêmes périodes d'examens. L'examen de fin de scolarité est appelé le DACAM, le Diplôme d'Acquisition des Compétences et Aptitudes Magiques. Les classes sont divisées par année, non par type de magie.

coventus Tou(te)s les Sorcier(e)s de la Communauté appartiennent à un Coventus, qui leur offre protection, stabilité et amitié. Au sein de celui-ci, iels embrassent des traditions différentes. A leur arrivée, iels pourront choisir deux chemins distincts : devenir un membre à part entière, demeurant en bas de l'échelle alimentaire, ou devenir un(e) apprenti(e), privilégiant les places éminentes du Coventus, et destiné(e)s à les prendre un jour. Il est possible de changer de Coventus en changeant de Divin, bien que ceci peut créer des tensions.

vie amoureuse Le monde des Sorcier(e)s est divisé quant à la question de l'homosexualité. La nécessité d'engendrer des héritier(e)s afin de préserver la race est un frein certain pour une majorité, en particulier auprès des familles haut-placées, mais l'acceptation est beaucoup plus grande dès lors qu'une naissance a eu lieu. La loi, quant à elle, propose le mariage peu importe le genre, et peu importe le nombre de partenaires (plusieurs mariages polygames ce sont ainsi déjà vus). Il est d'ailleurs à souligner que les mariages inter-coventus sont monnaie courante, bien que ceux qui unissent des Sorcier.e.s dont les Coventus ne s'entendent guère sont bien moins fréquents, et bien plus complexes.

coutumes générales
▬ Peu de Sorcier.e.s utilisent des téléphones, principal outil de communication auprès des Humain.e.s. Entre elleux, ils préfèrent de loin utiliser des lettrailes pour les échanges écrits, et des voxoneos pour les échanges oraux.
▬ Les unions sont célébrées par lea Maître(sse) des Mariages, originaire du Coventus de Qheer, au sein du Temple des Divins.
▬ Les rites funéraires sont semblables à ceux de Grèce Antique et sont perpétués par le Coventus de Cethis. Le corps est préparé par les Spathas puis exposé au Dimittis, entouré des Nimchas, qui pleurent pendant une journée durant. Le deuxième jour, le corps est transporté jusqu'au Temple de Cethis (un cortège se forme pour les cérémonies importantes durant lesquelles le corps est transporté par une calèche). Le Kunaï prononce prières et chants funéraires pendant la mise en terre, pendant que les Spathas purifient le lieu de la mort.
▬ Les Liens aux Familiers sont perpétués par le Coventus de Xinthris (consultez l'annexe des Familiers pour en savoir plus).
▬ Lors du Couronnement d'une nouvelle Fondatrice, les cloches du Temple de Dohva sonnent pendant une journée complète. Lors de la naissance de la première fille de la Fondatrice, future héritière du titre, les cloches sonnent à nouveau.
▬ Les Sorcier.e.s de la Communauté possèdent des papiers soumis à la règlementation de leur pays de résidence. Bien entendu, iels choisiront une ville voisine de la ville magique qu'iels occupent si c'est le cas, pour renseigner leur ville de résidence.

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Traditions magiques
«Nos voix se muent dans le Néant, pour être entendues par les Grands.»

Les Sorcier.e.s du monde entier possèdent des traditions étroitement liées à des pratiques occultes qui se sont répandues dans les Âges. Bien qu'on ignore s'il s'agit d'une véritable forme de magie, iels accordent une grande importance à ces rîtes ancestraux, qui se perpétuent dans les moeurs. A noter, il vous est possible d'y accorder une certaine forme de magie, dans la mesure du raisonnable.

théurgie et goétie Ces pratiques, étroitement liées, permettent l'invocation d'une entité ou d'un esprit pour s'octroyer sa puissance ou son conseil. Elles se manifestent par des catharsis, des silences, des incantations, des symboles matériels, des chants, etc.
attention ; s'il serait facile de diviser la théurgie dans le "bon" et la goétie dans le "mauvais", ce n'est pas aussi simple, il s'agit surtout de différences de pratiques rituelles.

alchimie Cette pratique est liée à la transmutation des métaux, souvent des "mauvais" aux "bons", comme du plomb à l'or. Elle implique également la recherche d'une pierre de longue vie, nommée la pierre philosophale, l'élixir d'immortalité ou la Panacée (médecine universelle). Elle se réalise majoritairement par de la manipulation chimique et physique.

divination La divination repose sur l'art de deviner ce qui est inconnu : avenir, caché, trésors, secrets, etc. Elle se manifeste par de très nombreuses pratiques dans le monde, pratiques que vous pouvez retrouver ici-même. Pour les personnages natifs du Pays de Galles, les arts divinatoires les plus répandus sont la tasséomancie, la taromancie, l'astromancie et l'halomancie.

nécromancie Cette pratique vise à interroger les morts pour obtenir des réponses à des questions divinatoires. Les rîtes rejoignent donc de manière étroite ceux de la divination (prières, chants, symboles matériels, etc), en présence, ou non, des restes de la personne invoquée.
à noter ; Elle n'est viable de manière sûre que via l'aquakinesis.

magnétisme Cette pratique représente les phénomènes physiques dans lesquels les objets exercent des forces attractives ou répulsives sur d'autres matériaux.

potionnisme et herboristerie Ces deux domaines, étroitement liés, concernent l'utilisation et la préparation de plantes, aux effets médicamenteux, psychotropes, toxiques, magiques, envoûtants, etc.

divinanimalisme Ce domaine, certes vaste, consiste à la connaissance des animaux magiques et à l'utilisation des produits qu'ils peuvent fournir dans des mixtures et autres élixirs.

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