RP - Don't pretend that you don't love the pain
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coventus de qheer
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Y avait cette odeur si particulière qui lui emplissait les narines, ce doux parfum d'asphalte brûlé et d'essence fumée crachée par les pots d'échappements tressautant sous les moteurs furieux. L'adrénaline d'la course, appuyer sur la pédale pour faire s'élancer le bolide, ça lui manquait, tendrement, mais sa.on gardien.ne l'avait eut à l'œil tout le début de soirée, notamment lors des inscriptions et des vérifications des pilotes. Il avait bien tenté de se glisser dans un des véhicules mais comme un chien flairant sa proie, iel l'avait alors extirpé de l'habitacle avant de le jeter dans les gradins avec un seul regard qui lui avait fait comprendre de pas faire le con ou iel le castrerait certainement. C'est ainsi que Lys assistait donc à la course avec un poignet dans une attelle des plus précaires, boudant les premières minutes comme un gamin à qui on a interdit sa sucrerie du soir avant d'être happé par les exclamations de ses colocs, finalement prit dans la course surtout pour observer sa sœur mettre la pâtée à un p'tit nouveau de chez nyankhe.
Déclama soudainement Bill avec son tact légendaire, faisant pouffer le frère qui décida à ce moment de se lever de son siège pour se pencher sur la barrière en frappant le dos de son ami, le visage fier.
Qu'il rit Lys en observant les derniers passer sous eux, les perdants qui remonteront certainement pas dans les premières places, encore p'tits rookies du bitume. Et c'est dans cette excitation que y a un truc qui le dérange, comme une sensation dans l'arrière de son crâne qui veut pas disparaître, l'obligeant à détourner son regard de l'écran géant diffusant l'endroits où sont actuellement les coureurs et qu'ils peuvent pas voir de là où ils sont postés. Ses prunelles cherchent un instant la foule comme dans l'espoir de comprendre ce qui peut bien avoir attiré son attention et c'est à c'moment fatidique qu'il la remarque, cette fameuse chevelure blonde dont quelques mèches rebelles s'envolent avec la brise nocturne. Nerea. Et ça le fait froncer les sourcils le Lys parce qu'avant d'être celle avec qui il désire le plus échanger quelques mots, c'est aussi l'héritière des Haseus qui sont loin d'être sur un territoire favorable. Et il a beau faire taire cette envie de la rejoindre qui hurle dans sa boîte crânienne, y a ce sentiment qui le quitte pas, cet instinct de protection qui est le même que quand ils étaient gosse et qu'il lui volait des crayons de couleurs pour que jamais elle ne s'arrête de dessiner. Alors il reste immobile dans ce sentiment de "j'sais pas", l'observe, la surveille, jalouse celui qui se tient à ses côtés, petit héritier qheer qui fait l'fier en prenant la main de la jolie blonde pour la tirer vers les rambardes certainement afin d'être plus proches de l'action, les rapprochant aussi de lui et ses colocs hurlant à plein poumon, perdus dans une engueulade incongrus sur qui doit sa tournée de bière. Et c'est peut-être ces exclamations puissante qui attire finalement leurs attention puisque bientôt Nerea se tourne vers eux et leurs regards se croisent quelques secondes avant que Lys ne le détourne, osant même plus respirer, se disant bêtement que si il reste assez immobile elle captera pas que c'est lui. Pendant un long moment le brun il peut presque le sentir son regard persistant sur lui, mais il bouge toujours pas, devient presque rouge de retenir sa respiration avant qu'une main ne s'abatte violemment sur son épaule, l'envoyant en avant, l'obligeant au passage à remplir ses poumons dans un étouffement ridicule.
Qu'il s'écrie le Lys en jetant une œillade noire à un Miguel quasi hilare qui fait alors un signe de tête vers la route où effectivement sa sœur tourne bientôt dans un crissement de pneus digne du dérapage qu'elle présente à une foule en délire. Et ça s'excite chez les Rhiat qui hurle le prénom de la Roussi avec enchantement. C'est une distraction assez puissante pour qu'il ne s'mette à chanter lui aussi le prénom d'la première actuelle, fière d'la voir toujours se débrouiller comme une chef malgré les interdictions et les barrières qu'ils lui mettent pour plus qu'elle concours. C'est quand finalement elle disparaît au troisième virage pour continuer plus loin qu'il se permets de rejeter un regard vers la blonde, qui est toujours là mais en pleine conversation avec le qheer qui bientôt hoche la tête et s'en va la laissant seul. Et il devrait pas, il le sait, mais y a encore et toujours c'putain de sentiment qui l'oblige à lâcher sa bande pour l'approcher, bande trop occupé à se redisputer parce que apparemment Raton a changé d'avis et veut plus payer les bières pour remarquer que le Roussi les délaisse. Se glissant au milieu des membres de son coventus surexcité, il arrive bientôt à sa hauteur et y a pas la place à l'hésitation parce que derrière lui il entend deux de ses membres chuchoter sur un ton mauvais "ce serait pas l'héritière des autres cons?" "pour qui elle se prend à se promener seule comme ça? elle pense quoi? qu'on lui doit le respect?". Et l'a pas le temps d'en écouter d'avantage qu'il a fait les derniers pas pour se glisser à ses côtés, comme dans l'idée d'offrir sa protection, parce que si il est avec elle, ça va faire jaser mais au moins aucun Rhiat n'aura dans la saugrenue inspiration de lui faire regretter sa présence.
Et ça devait être une blague, un truc léger pour entamer une conversation -après 11 ans putain- mais ça sort maladroitement, parce que y a peut-être un peu de venin derrière ses paroles quand il a encore le goût amer de sa dernière rencontre avec le fameux paternel lui ayant interdit de causer à sa progéniture. 11 ans putain de merde. Mais elle est là, devant lui, plus proche que jamais, elle a son attention sur lui et ça le rend nerveux, il aimerait ravaler ses paroles mais se retient, décidant simplement de détourner le regard pour observer la course sur l'écran. Se distraire du mieux possible.
No shit sherlock.
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don't pretend that you don't love the pain
C'était probablement l'une des pires idées qu'elle ait pu avoir. Pourquoi donc avait-elle accepté de suivre Bellamy jusqu'ici ? Elle le savait pertinemment. Parce qu'il fallait qu'elle trouve des preuves que les rhiat étaient les auteurs du vandalisme dont les thermes furent victimes. Est ce que c'était une bonne idée de se jeter dans l'antre des loups ? Pas vraiment, mais au moins elle n'était pas seule. Est ce qu'une infime partie de son esprit imaginait la possibilité de trouver à la course un certain brun aux yeux verts ? Peut-être. Dans tout les cas elle quitta son appartement au bras du jeune laverne.
Malgré la haine qu'elle partageait avec le reste de son coventus, à l'encontre des rhiat et de leur passion commune pour l'adrénaline, elle devait se l'avouer. Il y avait une certaine euphorie à regarder la course. Son regard suivait à la trace les bolides qui fonçaient dans l'obscurité de la nuit. Et puis sans qu'elle n'ait le temps de comprendre, les doigts délicats de l'héritier des qheer se refermèrent sur sa main et elle fut tirer vers la piste, plus proche de l'action. Elle agrippa ses mains autour de la rambarde, avançant doucement la tête pour mieux profiter du spectacle. Sa chevelure blonde fouettée par le vent. Elle ne le dirait pas mais... c'était agréable d'être ici. Enfin, si on mettait de côté les dégénérés qui hurlaient à plusieurs mètres d'eux. Nerea tourna la tête, prête à leur jeter de l'eau à la figure pour les calmer. Sauf qu'elle a croisé son regard. Son souffle se bloque, sa cage thoracique cessa de bouger et la seule chose qu'elle pouvait faire c'est de le fixer. Et lorsqu'il rompu le contact visuel, elle se remit à respirer. Sauf qu'elle ne pouvait défaire son regard de lui. Stupide cerveau. Elle l'avait déjà vu dans la rue, mais elle l'avait toujours fièrement ignoré, leur aura ne s'effleurant que pendant quelques secondes. Ici c'était différent. Elle le savait. Et lui aussi. C'est Bell qui parviendra à la tirer de sa contemplation, l'interpellant à plusieurs reprises. « Pardon, tu disais ? » La blondinette reporta son attention entière sur son ami, reprenant le fil des évènements, il lui raconta rapidement qui était en tête et la jeune Merigold posa alors le regard sur l'autre rossi. Celle qui brille de son talent dans la nuit. Un léger sourire se dessina sur son visage alors qu'elle se mit doucement à taper de ses mains à la victoire quasi sûre de la jeune femme.
Un échange de mots plus tard, et Nerea se retrouve seule dans la foule. Bell ayant une envie pressante et la blonde lui affirmant qu'elle pourrait se défendre si besoin et qu'il pouvait partir. Malgré son regard concentré sur la piste, elle sait très bien qu'on la fixe, qu'on l'évalue elle et sa présence dans ces lieux. Et puis elle les entends, les petites voix prêtent à lui sauter à la gorge. Mais elle les ignore, du moins elle essaye. Et puis il prends place, remplissant l'air autour d'elle de cette protection dont elle n'aimerait ne pas avoir besoin, qu'elle aimerait ne pas désirer. Elle se tourne alors légèrement vers lui, plongeant son regard chocolat sur lui. Elle leva alors les yeux au ciel. « Qui te dit que je fais confiance à un seul Rhiat ici ?» Lui répondit elle alors qu'un sourire mauvais se frayait sur ses lèvres. Elle se maudit d'avoir laissé Cosmos à l'appartement, mais en même temps si son familier avait été là, il aurait probablement déjà tenté de mordre Lysandre un bon nombre de fois. Elle fixa le profil de son ancien ami, n'en croyant pas ses oreilles. Elle n'arrivait pas à croire qu'il puisse oser lui adresser la parole après tant de temps, qu'il ose dire cela alors qu'il est celui qui l'avait abandonné.
Après un regard à la breloque en forme de dauphin qui pendait à son poignet elle répondit. « Simplement onze ans et quatre mois, mais qui compte ?» Elle aurait pu rajouter le nombre de jours également, mais il ne fallait pas abuser non plus. C'était déjà un geste de faiblesse de sa part que de lui parler et de lui révéler d'une certaine manière qu'elle avait remarqué son absence à ses côtés. Elle arrêta de le fixer pour concentrer son attention sur la course. « Elle s'en sort bien. Toi un peu moins. Mais tu as toujours été le plus casse cou de nous deux.» Elle désigna dans un premier temps la sœur du brun qui passait une nouvelle fois devant eux. Et puis d'un simple geste de la tête elle montra l'attelle à son poignet.
Malgré la haine qu'elle partageait avec le reste de son coventus, à l'encontre des rhiat et de leur passion commune pour l'adrénaline, elle devait se l'avouer. Il y avait une certaine euphorie à regarder la course. Son regard suivait à la trace les bolides qui fonçaient dans l'obscurité de la nuit. Et puis sans qu'elle n'ait le temps de comprendre, les doigts délicats de l'héritier des qheer se refermèrent sur sa main et elle fut tirer vers la piste, plus proche de l'action. Elle agrippa ses mains autour de la rambarde, avançant doucement la tête pour mieux profiter du spectacle. Sa chevelure blonde fouettée par le vent. Elle ne le dirait pas mais... c'était agréable d'être ici. Enfin, si on mettait de côté les dégénérés qui hurlaient à plusieurs mètres d'eux. Nerea tourna la tête, prête à leur jeter de l'eau à la figure pour les calmer. Sauf qu'elle a croisé son regard. Son souffle se bloque, sa cage thoracique cessa de bouger et la seule chose qu'elle pouvait faire c'est de le fixer. Et lorsqu'il rompu le contact visuel, elle se remit à respirer. Sauf qu'elle ne pouvait défaire son regard de lui. Stupide cerveau. Elle l'avait déjà vu dans la rue, mais elle l'avait toujours fièrement ignoré, leur aura ne s'effleurant que pendant quelques secondes. Ici c'était différent. Elle le savait. Et lui aussi. C'est Bell qui parviendra à la tirer de sa contemplation, l'interpellant à plusieurs reprises. « Pardon, tu disais ? » La blondinette reporta son attention entière sur son ami, reprenant le fil des évènements, il lui raconta rapidement qui était en tête et la jeune Merigold posa alors le regard sur l'autre rossi. Celle qui brille de son talent dans la nuit. Un léger sourire se dessina sur son visage alors qu'elle se mit doucement à taper de ses mains à la victoire quasi sûre de la jeune femme.
Un échange de mots plus tard, et Nerea se retrouve seule dans la foule. Bell ayant une envie pressante et la blonde lui affirmant qu'elle pourrait se défendre si besoin et qu'il pouvait partir. Malgré son regard concentré sur la piste, elle sait très bien qu'on la fixe, qu'on l'évalue elle et sa présence dans ces lieux. Et puis elle les entends, les petites voix prêtent à lui sauter à la gorge. Mais elle les ignore, du moins elle essaye. Et puis il prends place, remplissant l'air autour d'elle de cette protection dont elle n'aimerait ne pas avoir besoin, qu'elle aimerait ne pas désirer. Elle se tourne alors légèrement vers lui, plongeant son regard chocolat sur lui. Elle leva alors les yeux au ciel. « Qui te dit que je fais confiance à un seul Rhiat ici ?» Lui répondit elle alors qu'un sourire mauvais se frayait sur ses lèvres. Elle se maudit d'avoir laissé Cosmos à l'appartement, mais en même temps si son familier avait été là, il aurait probablement déjà tenté de mordre Lysandre un bon nombre de fois. Elle fixa le profil de son ancien ami, n'en croyant pas ses oreilles. Elle n'arrivait pas à croire qu'il puisse oser lui adresser la parole après tant de temps, qu'il ose dire cela alors qu'il est celui qui l'avait abandonné.
Après un regard à la breloque en forme de dauphin qui pendait à son poignet elle répondit. « Simplement onze ans et quatre mois, mais qui compte ?» Elle aurait pu rajouter le nombre de jours également, mais il ne fallait pas abuser non plus. C'était déjà un geste de faiblesse de sa part que de lui parler et de lui révéler d'une certaine manière qu'elle avait remarqué son absence à ses côtés. Elle arrêta de le fixer pour concentrer son attention sur la course. « Elle s'en sort bien. Toi un peu moins. Mais tu as toujours été le plus casse cou de nous deux.» Elle désigna dans un premier temps la sœur du brun qui passait une nouvelle fois devant eux. Et puis d'un simple geste de la tête elle montra l'attelle à son poignet.
KoalaVolant
ft. @"lysandre blair-rossi"
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Elle sentait bon. C'est vraiment la pire idée qui lui traversa l'esprit tandis qu'il se penchait légèrement vers elle, comme pour mieux entendre sa réplique cinglante qui lui arracha un rire taquin. Bien évidemment c'était sa réaction, il aurait du s'y attendre, bien loin l'époque où ils étaient gamins. Puis avec sa magie plus avancée, elle pourrait certainement mettre à terre ces idiots menaçants plus vite qu'il ne pourrait réagir. Mais loin l'idée de la laisser oublier, parce que lui s'en souvient, et qu'il est pas non plus le plus saint de la soirée.
C'est certainement aussi mauvais que le sourire qu'elle a sur ses lèvres roses, mais il en est fier ; parce qu'il a toujours en travers de la gorge les paroles du paternel, le claquement de porte indigné qui a suivi comme s'il n'était qu'un sordide insecte maintenant qu'il ne priait plus la même foutue divinité. Mais si y avait un semblant de colère qui se formait dans sa caboche, ce fut balayé d'un simple regard, des prunelles s'attardant sur une breloque avec une forme bien particulière qui oblige un de ses sourcils à tressauter de surprise. Elle l'avait gardé. Est-ce que cela voulait dire autant qu'il l'espérait? Ses dires suivants appuient sur un espoir volage qui lui coupe presque le souffle, des dires exacts puisqu'il en connaissait aussi le nombre précis. Alors il est silencieux, parce que ça mets du temps à procéder la chose, parce qu'après 11 ans, c'est beaucoup en quelques secondes. Cela permet à la blonde de continuer, acclamant une demi sœur qui n'hésiterait pas à re vandaliser les thermes si elle savait qu'ils parlaient actuellement, et cinglant bien évidemment son poignet atrophié. Cette petite réflexion elle lui arrache un vrai rire, parce qu'elle a raison, pas super connu pour être le mec le plus safe de la communauté, Rossi un nom bien connu chez les orrhun qui le réparent plus souvent qu'ils ne voient leurs propres familles.
À ce moment, un besoin de prouver ses dires le font lever son poignet non blessé, comme pour dire "attends" afin de l'empêcher de répondre quoique ce soit dans l'immédiat. Puis il entrelace leurs doigts afin de la tirer en arrière, vers l'intérieur des gradins où trônent le bar à côté duquel se trouve des centaines de photos et trophées remontant l'histoire des rhiat et de leurs folles courses. Inconscient du geste qu'il a envers elle, habitude d'enfant lorsqu'il l'emmenait vers un autre endroit pour qu'ils soient tranquilles et qu'elle puisse dessiner pendant qu'il ferait une sieste, alors il se sert de cette emprise pour les faire naviguer la foule, s'éloigner du bar et rejoindre l'une des étagères qui a l'air plus nouvelles, s'arrêtant devant, il désigne l'un des trophée -semblant le plus ancien- sur lequel est accroché au scotch une photo mal cadrée où il apparaît -plus jeune- tenant fièrement le dit trophée sur la première place, sa demi sœur à côté et la tête de son père qui dépasse légèrement du côté droit.
Qu'il récapitule, tout fier, tout en les décalant à chaque fois pour montrer les prix et les photos qui les accompagne, lorsqu'il est dessus bien entendu. Grand fierté qu'il a le brun, peut-être aussi parce que ça montre que son choix de changer de coventus avait un sens, que ça lui a apporté bien des choses, notamment des victoires. Puis il la laisse observer, garde le silence quelques instants, quelques instants où il lui devient clair que leurs doigts sont entrelacés, immédiatement il les détache, conscient de ne plus être ces deux gamins innocents. Néanmoins il ne peut s'empêcher d'ajouter après son geste:
Au dessus de leurs têtes des rugissements parviennent comme pour indiquer qu'un incroyablement dépassement vient de s'effectuer et au lieu de remonter immédiatement afin de vérifier que sa sœur soit toujours première, comme il l'aurait fait normalement, il reste campé sur ses positions, évitant le regard de la blonde néanmoins, ses prunelles vertes se portant plutôt sur son poignet où la breloque trône toujours fièrement. 11 ans, c'est extrêmement long, pourtant elle n'a jamais cherché à le contacter, et pourtant rhiat sait qu'elle aurait été mieux accueilli par le père Rossi que lui ne l'a été par le Merigold. Alors la colère elle revient un peu, parce qu'il comprend pas, il comprend pas souvent Lys, neurones cramés des nombreux accidents certainement, mais là ça n'a aucun sens et ça le blesse peut-être plus qu'il ne voudrait l'admettre.
Surtout plus de tact la prochaine fois.
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