EVENEMENT #1
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forgotten city
coventus de qheer
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Le temps est propice à la joie, dans la communauté les sourires éclosent sur les lèvres, au milieu des enfants il y a une atmosphère d'excitation joviale tandis que les sorciers vaquent à leurs occupations diverses avec une seule idée en tête, rejoindre la grande charade à la nuit tombée. En effet depuis maintenant deux semaines, les crieurs et les prospectus s'envolent dans les rues afin d'annoncer la grande réouverture de la fameuse fête foraine le 1er août au soir. Le temps a été clément toute la journée, le soleil a réchauffé les âmes tandis qu'une brise fraîche refroidissait la terrible fatigue, et lorsqu'une petite foule s'amassa devant les guichets, l'on pu sentir une douceur certaine étreindre les âmes. Certains amoureux se retrouvaient pour un rendez-vous galant, d'autres, encore proie aux premiers émois, priaient leurs divin pour une nuit magique, les familles dépassées tentaient de retenir la marmaille de plus en plus excitée ; peu importe la raison de leurs présence, beaucoup avaient fait le déplacement afin de profiter des nouveautés qui se promettaient enchanteresse.
L'on aurait pu croire qu'après l'ouverture, l'effervescence retomberait, que doucement la foule se briserait mais il n'en fut rien, bien au contraire, les retardataires ne rajoutèrent que plus de visages à cette cacophonie. Les files gonflaient et il n'était plus rare de trouver un endroit pour reposer ses pieds endoloris absolument partout, certains sorciers agiles montant même aux sommets de caravanes et chapiteaux pour fixer ceux se bousculant dans les allées. Les rires se mélangeaient avec les odeurs sucrées des friandises, certaines clameurs de surprise s'élevaient par ci par là lorsqu'un forain audacieux présentait son art. Quand la nuit envahit la ville de son manteau épais, les rues se trouvaient bien déserte, les restaurants et autres commodités se voyaient fermés plus tôt et du quartier d'allanolstryd les milles et unes couleurs lumineuses éclairèrent bientôt les spectateurs ébahis ; de petites flammes semblables à des feu follet se promener dans les airs, dans des danses gracieuses, courtoisie des forains pyrokinesiste à l’œuvre, rose, bleu, jaune, rouge, violette, verte, elles passaient parfois près de visage surpris dans un crépitement joyeux. Et puis doucement, les plus aguerris voient dans leur danse un chemin qu'ils suivent avec curiosité, certains autres tombent sans vraiment faire attention à la destination où les flammes se rassemblent petit à petit, formant un cercle au milieu d'un chapiteau décrépit. Il ne faut pas plus de quelques minutes pour qu'un tas de sorciers ne s'entassent, assez pour que dans l'empressement le maître des lieux ne ferment les ouvertures tandis que ses deux belles assistantes creusent l'écart entre les corps au milieu où le sorcier imposant se tient bientôt, de toute sa hauteur, un sourire écarlate sur des dents jaunes. Il se met à déclamer un chant, piteux, d'une voix grasse, avec un accent nordique si fort qu'il est difficile de le comprendre mais les deux jumelles, trop charmantes pour être vraies, ne semblent pas disposées à faire la traduction. Cela dure de longues secondes, pendant lesquels on ne se sent pas à l'aise, certains se pressant contre leurs camarades afin de trouver une source de réconfort. Et finalement dans une explosion sonore qui fait rire les enfants lorsque les feu follets se transforment en mini feu d'artifice un somptueux cerf blanc apparaît. Beaucoup sont pris d'émois face au magnifique de la créature, ça se presse afin de mieux voir le grandiose qui se tient fièrement. Créature mystique, les yeux se repaissent de cette vue. « Y a un bébé !! » Plus de petits cris encore, le tas informe se compresse afin de s'extasier devant la trogne du faon. Les assistantes repoussent dans des électrocutions sauvages qui font froncer les sourcils, l'homme d'un rire gras propose de caresser l'animal de plus près contre monnaie et pour les quelques érudits en la matière, il y a quelque chose qui ne va pas. Les naseaux du majestueux cerf blanc sont frétillants de peur, sa position est fatiguée, son corps montre un déclin d'abus, pourtant il se tient fier, pour protéger son petit.
Mais il est si difficile de voir au travers du voile d'excitation, plus difficile encore de se rendre compte de sa propre abjection, certains murmures commencent à s'élever mais sont encore noyés par la tumulte. Ainsi dans les ténèbres de nos actions, seul le destin décidera de la clémence à accorder.
☼ Ci dessous vous retrouverez deux codes à rajouter à chacune de vos réponses: un pour résumé rapidement les actions et où est votre personnage ; un autre contenant votre décision concernant jusqu'où la destinée va s'acharner sur votre personnage.
☼ Voici des exemples afin de vous aider à choisir le niveau de mallus:
Faible: entorses - bouffée d'anxiété - égratignures (blessures légères).
Moyen: déchirure musculaire - handicap d'un sens temporaire - cicatrices - défaillance magique temporaire.
Fort: paralysie partielle des membres (temporaire) - os cassé(s) - perte d'un sens temporaire - amnésie temporaire.
☼ Ceci n'est pas un évènement obligatoire, il est donc tout à fait possible de ne pas y répondre ou de n'y participer qu'avec une seule de vos têtes (pour ceux qui en ont plusieurs).
☼ Pour les plus timides, vous ne serez jamais seul(e)s, en effet le staff prendra la responsabilité de rompre et créer des groupes afin qu'aucun ne se retrouve sans partenaire.
☼ Veuillez faire court et concis, l'évènement aboutira courant septembre lors de la prochaine mise à jour, donc merci de privilégier la quantité étant donné que selon où seront vos personnages lors de la conclusion, tout pourra changer.
☼ Les mallus seront distribués selon vos actions, il n'y a pas de système de dés, cela est tout à fait conscient de notre part, ainsi si vous décidez d'utiliser la magie et/ou votre physique, veuillez ne PAS ECRIRE la conséquence, nous nous en chargeons.
☼ Quand au bonus, nous vous en avons teasé un et il y aura bien une récompense à la clé selon vos décisions, pour plusieurs d'entre vous comme pour
☼ Merci de préciser rapidement si le familier de votre sorcier est présent ou non.
☼ Postez votre réponse à la suite de ce message.
☼ Amusez vous et surtout, soyez attentifs.
- Code:
☼ Je soussigné(e) [i]((pseudo))[/i] autorise le staff à donner un <f1>faible/moyen/fort</f1> mallus à @"personnage".
OU
☾ Je soussigné(e) [i]((pseudo))[/i] n'autorise pas le staff à donner de mallus à @"personnage", refusant ainsi, par la même occasion, le bonus.
- Code:
[spoiler="Résumé"]à noter ici, un court résumé de vos actions.[/spoiler]
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La réouverture d'la fête foraine avait fait jaser dans le Trirème, officiers surexcités se voyaient déjà dégustant barbe à papa et pommes d'amour. Presque tout les bureaux avaient été colonisés par les flyers amassés au quatre coins de la ville. Et l'Axis, ça le faisait chier. Avait envie de claquer cette bande d'ahuri incapable d'se concentrer sur ce qui importait réellement, leur putain de job. Avait poussé une gueulante dont certains s'souviennent encore, avait salit quelques mères et maudit quelques progénitures. Avait surtout finit par jeter un r'gard en coin au prospectus. Rictus farceur avait étiré ses lèvres lorsqu'il en avait causé avec sa belle, d'la fête foraine. Ancien lieu de rendez-vous de ces deux ados secoués par des vagues d'émotions contraires, Makoa, il se défoulait au stand de tir, raflait le gros lot et le filait, l'air de rien, à son «amie», faisaient les cons devant la caméra du photomaton, essayaient d'pas se dévorer d'yeux dans l'carrousel. S'était dit qu'ça serait marrant d'y retourner. Étaient dans les premiers arrivés, avaient flânés dans les allées, dépensés sans réellement comptés, avaient causés d'leur vies, d'celle de l'enfant qu'elle porte. Large sourire placardé sur sa gueule, habituellement fermée, l'Champion, il a passé des heures à la dévorer d'yeux. Yuna et ses gestes faits de grâces et de douceur, beauté lunaire. Vit pas la nuit tombée, s'fouta simplement d'la gueule des badauds émerveillés par quelques flammes colorées, avait d'jà vu plus spectaculaire, au Samoa. Fronce les sourcils en voyant l'monde être guider par les feux follets jusqu'à l'intérieur d'un vaste chapiteau. «Viens.» Attrape l'épaule d'la profileuse et la traîne jusqu'à la tente, bouscule un type qu'il r'garde même pas, lui chourant sa place dans la foule. Observe les flammes se ressembler au centre du chapiteau, jette un r'gard curieux au sorcier et à ses assistantes, s'attarde un peu plus sur ces dernières. «C'est quoi c'bordel ?» qu'il lâche alors qu'le maître de cérémonie s'lance dans un speech incompréhensible, tire davantage la petite brune à lui, instinct primaire qu'd'vouloir défendre sa femelle et l'petit à naître d'un danger qu'il capte pas encore. Referme le poing alors que les feux follets s'mettent à exploser, bruyante détonation fait marrer les gosses, lui n'est soudainement plus très sûr d'en vouloir. C'est archi con un gosse. Les mirettes qui s'posent sur un cerf à l'éclatante blancheur, sortit d'nul part. Cervidé dont la vue ne lui arracha qu'un soupir las. «On était mieux dans l'allée.» Râleur, n'prête presque pas d'attention à l'animal ni à la foule qui se presse, hurle ou murmure, rejette son dévolu sur la brunette.
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☼ Je soussignée Zé Rude autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Makoa est venu à la fête foraine avec @"Yuna Kurogane". Il la force à le suivre dans le chapiteau, rendu curieux par la foule qu'y est entassée. Il éjecte de la file un pauvre type. Qui ? Il s'en fout. D'abord sur la défense, il finit par relâcher la pression à l'apparition du cerf, dont il se fout aussi. Il ne regarde que Yuna dont il quête les réactions. En râlant.
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Le Paon bien obligé de se montrer, lors des évènements publiques. Il n'aime pas particulièrement la foule, perdu au milieu des gens souvent bien plus grands que lui. Les fêtes foraines ? Il n'apprécie pas vraiment non plus. Si encore il y avait un matsuri au sein de la communauté, il aurait été de meilleure humeur. Tout de même bien décidé à profiter de l'occasion, le voilà habillé de son plus beau Yukata d'été. Tenue Japonaise traditionnelle, kimono pour homme moins vibrant que ceux arboré par les femmes. Un moyen pour Shigure, de renouer avec cette culture si lointaine qui est pourtant la sienne. Ah, le Japon, c'est un très lointain souvenir d'enfance pour lui. Sa terre natale, il l'a malheureusement quittée trop vite. Famille Moriyama obligée de suivre le pater familias béni de Zeddhis, herboriste et botaniste effectuant des recherches à l'étranger. C'est une belle opportunité pour notre fils de voyager si jeune, qu'il avait sorti à sa femme. Finalement ça les mèneras au divorce, divins incompatibles et maman bénie d'Amjhir qui avait envie de plus de stabilité. La connaissance acquise lors des voyages était plaisante, mais néanmoins incompatibles avec les plans de l'épouse.
Mochi la petite boule blanche perchée sur son épaule, l'oiseau qui n'a décidément pas bien envie de voler ce soir par fainéantise. Moriyama qui suit la foule dans un long soupire, regrettant qu'Amjhir n'ait pas de service de sécurité au sein du Coventus pour qu'on l'accompagne. D'autres érudits sont présents ici, il reconnait quelques visages familier, adresse quelques sourires et surtout s'applique à toujours dire bonjour aux familles avec des enfants. C'est qu'il a déjà commencé à bien planifier sa prochaine mesure, Shigure, accompagné d'Emrys. Revaloriser son image auprès des parents du coventus, en offrant des bouquins à leurs gosses pour leur filer une longueur d'avance sur les autres avant l'entrée à l'institut. Il faudra néanmoins attendre le mois prochain, Septembre et ses grâces littéraires pour que le publique soit au courant.
Place trouvée dans le chapiteau, petit Paon assis sur des bancs en bois qu'il juge inconfortables. Grimace de mécontentement, l'Asiatique qui s'ennui profondément et ne comprend rien à la présentation du forain pourvu d'un accent terrible. Coup d'éventail pour s'occuper les mains plus que pour s'éventer.
Mais le voilà qui d'un coup se penche en avant et plisse les yeux depuis son banc pour regarder la bestiole venant d'apparaître. Un cerf blanc, plutôt rare. Il n'en a vu qu'une fois dans sa jeunesse lorsque la famille était encore en Suède : les scandinaves travaillent avec cet animal pour élire les leader de leurs communautés. Ce n'était pourtant pas du Suédois qu'il bavait l'autre énergumène, sinon Shigure aurait compris.
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☼ Je soussignée Coffee time autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Shigure débarque au festival pour se faire voir en tant que Paon, participer à la vie sociale de la communauté. Il est emmerdé de devoir sortir comme ça, et s'installe sur un banc dans le chapiteau avec Mochi son familier. Lorsque le cerf blanc apparait il se souvient de ce qu'il a vu en Suède dans son enfance et que ces animaux servent à élire les représentants des communautés scandinaves.
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le temps est bon, et le ciel a été bleu toute la journée. ainsi, Isabeau n'a revêtue qu'une légère robe de lin beige qui, du fait de ses cheveux courts, dévoilent élégamment son long cou et ses épaules. sur l'une d'elle repose un sac en crochet dans lequel elle a glissé un gilet, au cas où le vent se léverait. elle ne souffre d'aucune nostalgie infantile concernant les fêtes foraines : leurs manèges, leurs artistes de rue ; au contraire, le spectacle aurait plutôt tendance à lui rappeler les trop nombreuses extravagances des Nyankhe qu'elle préfère oublier. serait de plus mauvaise foi qu'elle prétendrait à tour de bras
perdue dans la foule, elle scrute les visages autour d'elle, tentant de repérer s'il y en a quelconque qu'elle reconnaît. non pas qu'elle irait leur parler. le soir, les meilleures rencontres sont toujours le fruit du hasard. mais malsaine curiosité, besoin d'étudier le comportement de ces sujets comme des petits rats de laboratoires dans des conditions prédéterminées. et puis, à quelques mètres au dessus d'elle, l'œil aguerri d'hippocrate veille aussi à ne laisser échapper aucune information à glaner. un petit creux se fait sentir, alors elle se dirige vers une échoppe de friandises dont la queue n'était, ô surprise, pas grandement excessive. ne doutant pas que la cargaison du marchand était très sûrement assaisonnées de quelque drogue et autres potions, après un examen qui a de quoi faire trembler et suer chaque parcelle du corps du commerçant, elle dirige finalement son choix sur une pomme d'amour. à l'irlandaise, plutôt qu'à l'américaine, c'est avec plaisir qu'Isabeau découvre la saveur du chocolat sous celle du caramel teinté de rouge. à peine a-t-elle le temps de l'éloigner du stand de friandises qu'on la hèle depuis l'étale voisine.
tandis que san partenaire la rejoint, deux verres à la main, des feux follets de toutes les couleurs ne se mettent à danser autour d'elleux. si elle n'avait pas la certitude de ne pas encore avoir ingérer une goutte d'alcool de la journée, elle s'attendrait presque à voir des éléphants roses prendre le relai. la valse des flammèches, tout d'abord aléatoire et envahissante pour attirer l'attention de l'assistance, finit par s'organiser et à désigner de leur remous un chapiteau plus éloigné, moins glorieux que les principaux bordant l'allée. curieuse comme une pie et voyant les premiers badauds s'y diriger, Isabeau attrape san partenaire par la main et l'entraîne avec un engouement qu'on ne lui connait guère vers la source de curiosité.
installé.e.s aux premières loges à la seconde rangée, elle pense regretter un temps de s'être précipitée sous la tente vieillotte, quand elle entend babiller le maître de cérémonie, ersatz d'illusionniste pour humains abrutis qui pour cerise sur le gâteau, vient même cracher sur le tableau en s'accompagnant de deux assistantes indissociables en petites tenues. oh, elle n'est personne pour porter un jugement sur la vertu, mais quant au vulgaire, il y a des manières de faire. repose son attention sur sa pomme dans laquelle croque à nouveau avec entrain quand résonne dans son crâne.:
☼ Je soussignée hétaïre autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Isa participe à la fête dans le but de juger les gens et de se murger. fort heureusement une âme charitable (homme, femme, ni l'un ni l'autre, qu'on ait un lien établi ou non - toi ?) se propose de lui offrir un verre de vin pour accompagner sa pomme d'amour. l'alcool lui montant légèrement au nez, elle s'ébaudit comme une enfant devant le spectacle de paillettes et surtout devant les animaux inconnus. Hippocrate, plus responsable, guette et veille sur elle à quelques mètres au dessus de sa tête.
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Relation naissante, qu'il cache au reste du monde avec angoisse. Nero retrouvé pourtant sans mal devant un stand de bière. Salutations polies et superficielles, parce que Lucius a conscience que ça ne doit pas se savoir. Oh mais quel hasard, vous ici ? Deux bières pour eux, et les voilà suivant la foule pour s'y fondre. Direction le chapiteau pour eux comme pour les autres et d'un geste discret de la tête, Jager indique les bancs du fond au Dohva qui l'accompagne. Cachés plus ou moins des autres, un brin à l'écart pour plus de liberté. Oh, il sait bien qu'ils ne doivent pas donner l'impression d'être trop proches. Hors de question de se donner la main en publique. Encore mois de s'embrasser et il faut limiter les regards complices qui pourraient vendre la mèche.
Ce date finalement, ça le rend plus triste qu'autre chose Lucius. Rhiat qui comme tous les quatre matins, reconsidère ses choix de vie en se disant qu'il n'est vraiment pas doué pour prendre des décisions productives.
« J'aime pas trop les cirques en vrai... »
Parce qu'il a un mauvais souvenir d'enfance Lucius. Une fête d'anniversaire d'un copain de l'école, où les parents avaient embauché un clown pour animer le goûter. Un clown qui du haut de ses cinq ou six ans l'avait terrifié plus qu'autre chose, au point que sa mère doive venir le chercher en avance tant il était inconsolable. Assis sur son siège, ne comprenant pas un traitre mot de ce que le gars raconte, le voilà à siroter sa bière en espérant très fort qu'un clown ne se pointe pas pour faire un spectacle le ramenant à sa petite enfance.
Heureusement ?, ce sont deux cervidés qui apparaissent. Lucius ne comprend pas très bien. Pas qu'il comprenne grand chose globalement dans la vie mais...
« Ah ? ça peut apprendre des tours un cerf ? »
☼ Je soussignée Coffee time autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Lucius retrouve @"Nero Caelum" à la fête foraine et les deux se prennent une petit bière. Installés au fond du chapiteau, Lucius prie Rhiat pour qu'il n'y ait pas un clown qui débarque faire le spectacle (se rappelant la terreur de sa petite enfance à un goûter d'anniversaire) Quand les cerfs arrivent, il est surpris qu'on puisse leur apprendre des tours.
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Une fête foraine. C’est le moment rêvé pour sortir un peu, se détendre, passer un bon moment. Pas pour moi, d’ordinaire; je ne suis pas du genre à m’amuser, ce qui m’a été reproché bien des fois par mon cher petit ami. C’est étrange de se dire que j’ai quelqu’un dans ma vie actuellement, mais soit; on verra bien où ça nous mène.
Quoi qu’il en soit, il semblait être excité à l’idée de sortir en date avec moi. Un date qui n’en est pas un, en réalité; nous ne pouvons pas nous afficher. Ce qui ne nous empêche pas de tomber l’un sur l’autre, de rester ensemble mine de rien malgré notre écart de statut social. Ca ne me rassure pas le moins du monde, mais j’accepte de faire des efforts. En prime, Freja qui ne quitte pas mon épaule pour une fois ne cesse de me rappeler à quel point c’est une mauvaise idée.
C’est donc totalement par hasard que nous arrivons au même stand, à commander une bière en échangeant des banalités. S’il semble peiner à ne pas se comporter avec moi comme avec son ex, je suis trop occupé à épier les environs pour réellement faire des efforts. Mes yeux balayent la foule, cherchent des visages familiers, captent des regards qui ne me plaisent pas. J’ai la désagréable sensation d’être observé, que chacun de mes gestes est noté et donnera naissance à de nouvelles rumeurs. C’était une erreur de sortir avec lui, aujourd’hui.
Nous suivons la foule mine de rien, et trouvons une place au fond où personne ne viendra nous emmerder. Malgré moi, je continue d’observer la foule avec appréhension. Je reconnais déjà quelques personnes, comme cet idiot d’Orrho ou ce très cher Paon. Déjà deux ennemis présents sur les lieux, et une grimace de ma part.
“Ca va aller.”
Je combats avec difficulté l’envie de lui prendre la main, et porte à la place mon regard sur le spectacle qui commence. L’homme est incompréhensible, le spectacle plus encore. Sourcils froncés, j’observe l’animal qui vient de débarquer. Les animaux, en réalité; il semblerait que cette créature que je n’avais encore jamais vue vienne en double.
“Non…non, ça ne peut pas.”
Freja me donne un coup de bec sur l’oreille, affirmant mes dires. Je ne suis pas un professionnel des animaux, laissant clairement cela aux animakinésistes, mais je trouve ça étrange qu’on garde un animal aussi grand dans un si petit chapiteau. La foule est bruyante, la foudre utilisée par les assistants plus encore, et c’est peut-être ce qui me met le plus mal à l’aise. Tout ça semble…mauvais. Pourquoi? J’en sais foutrement rien.
“Des fulguro…putain. Ils sont partout.”
☼ Je soussignée Astra autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Nero rejoint Lucius “par hasard” à la fête, sa chouette sur son épaule. Il est sur les nerfs, à observer la foule pour s’assurer que personne ne les capte ensemble. Installé au fond du chapiteau, il capte le visage de Makoa et celui de Shigure. Quand le cerf apparaît, il sent que quelque chose ne va pas, mais ne met pas le doigt sur quoi. Il est surpris qu’un animal si gros soit enfermé ici, et râle que les assistants sont des fulgurokinésistes.
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Abandonnée par ses deux cavaliers de l’Apocalypse, Luz aurait pu abandonner ses grands projets nocturnes. Mais ce serait mal connaître l’oiseau de nuit qu’elle est et le cœur indépendant qu’elle cultive depuis sa naissance. Ils ont quelque chose de mieux à faire ? Très bien, elle aussi trouverait des gens
Voilà qu’elle se pointe sous le chapiteau, non sans avoir consumé tout son bâton de cancer, à la recherche de pop-corn imbibé de rhum ou… de vin, voilà qui émoustillera ses sens. Car rien ne va assez vite pour la blonde, tout semble si
«
Love piaille dans son esprit, bien caché dans les hauteurs du chapiteau. Il y a d’autres oiseaux, d’autres familiers qui ne laisseraient pour rien au monde leur deuxième morceau de cœur mais son amie préfère faire profil bas. Pour le moment. Quand finalement l’illusionniste révèle ce qu’il cachait depuis tout ce temps, Luz laisse échapper un battement de cœur. Son souffle se meurt sur ses lèvres. Elle ne l’avouera à personne, mais elle est soudainement prise entre deux feux, face à la beauté des animaux qui se dévoilent sous leurs yeux alanguis, mais aussi à la cruauté de l’être humain d’enfermer des êtres qui ne désirent que liberté. Elle se sent un peu comme eux, parfois, forcée de rester dans un carcan qui ne lui convient pas. «
☼ Je soussignée Peluuches autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Luz décide de s'intégrer et se rend à la fête sans ses deux acolytes de toujours. Elle croise Isabeau, lui offre un verre dans l'espoir de copiner un peu. Quand elles vont s'asseoir au deuxième rang, Luz est choquée par la maltraitance que l'on impose au cerf blanc. Elle hésite sur la conduite à tenir.
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En se baladant au sein de la Cité, il n’avait pas pu ignorer les prospectus promouvant le retour de la Grande charade. D’avant sa mission, il n’en gardait qu’un vague souvenir : ce n’était effectivement pas le type de lieu qu’il aimait fréquenter, ne profitant que très peu des plaisirs du commun des sorcier.e.s. Mais cette fois-ci, son instinct lui avait chuchoté de s’y rendre.
Zahra, l’affreuse médisante, était restée aux abords de la fête foraine, refusant de s’aventurer plus loin, pour le plus grand bonheur de Farouk. Plus elle était loin de lui, mieux il se portait. Elle était restée curieusement silencieuse en le voyant rejoindre le chapiteau : et si le jeune Al Qassim avait daigné jeter un coup d'œil en sa direction, avant de pénétrer dans l’antre du chapiteau, il aurait sûrement remarqué son petit sourire malicieux. Mais il ne remarqua rien.
Il avait pu trouver une place sur les bancs situés en haut du chapiteau sans trop de difficultés. Il aperçut certains visages familiers et d’autres qu’il aurait aimé ne plus jamais revoir. Trop concentré à chercher du regard ces visages détestables, il ne prêta ni attention à l’homme qui s’installa juste à côté de lui ni au cinéma du sorcier et des assistantes. Une explosion sonore interrompu sa chasse. Un cerf blanc apparut. Puis son bébé. La beauté des créatures ne toucha que très peu Farouk. Lui qui tenait en horreur les familiers et autres créatures, mais presque encore plus les marmots.
A la vue de la créature, néanmoins, il ne put s’empêcher d’étaler son savoir, On dit que la société scandinave se fie au bon vouloir des cerfs blancs pour élire leurs représentants. Dit-il à son voisin, sans même se demander si cela pouvait l’intéresser. Après tout Farouk ne souhaitait qu’une chose : s’entendre parler. Il posa les yeux pour la première fois sur l’homme aux origines asiatiques, il portait un kimono délicat aux motifs traditionnels, arborait une mine sombre et des airs de petit chef.
Moi c’est Farouk. Finit-il par dire, invitant implicitement son voisin à décliner son identité. Peut-être que la soirée serait amusante finalement.
☼ Je soussignée pomcrush autorise le staff à donner un
- Résumé:
- Le familier de Farouk ne l'accompagne pas à l'intérieur du chapiteau, ayant un mauvais pressentiment. Farouk est rejoint par @"Shigure Moriyama" sur son banc. Il engage la conversation, ne se souciant que très peu du sort des cerfs blancs.
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