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forgotten city
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coventus de qheer
INRP
HRP

coventus de (Zeddhis)Zephyr Hawke

Oli Sykescrédits; ava. by coffee time, gif. by unknown  

— identité et caractère —

tw ; consommation de drogue, manque, addiction, mention de sexe


informations identité — Zephyr; un prénom neutre offert par mes parents, qui souhaitaient que je m’exprime dans mon entièreté au cas où mon genre ne match pas mon apparence. Hawke; nom de famille dérivé du vieil anglais “Hafoc”, signifiant le côté sauvage d’un individu. naissance — 8 Décembre 1986 au sein même de la Communauté. Soleil en Sagittaire, Ascendant Verseau, Lune en Poissons. D’autres planètes font sens dans ce thème astral, comme un Mercure en Scorpion qui me donne une langue bien acérée, un Mars en Poissons qui me détache des normes sociales, et un Vénus en Scorpion qui explique peut-être cet amour puissant et inconditionnel que je voue à une grande partie de l’humanité et du monde sorcier. origines — Anglais, pur et dur. Je n’ai jamais quitté la Communauté malgré l'envie qui s'est souvent fait ressentir, et je rêve d'une liberté à toute épreuve. coventus — coventus de Zeddhis, les amoureux des plantes. J'étais autrefois Phacélie, goûteur des nouvelles drogues. Ce poste semblait taillé pour moi, jusqu'à ce qu'un signe divin m'en éloigne. L'addiction, la dépendance, la noyade dans les abysses avant de ressortir la tête de l'eau. Le divin vénéré qui offre une seconde chance, place de Fumeterre qui m'ouvre les bras suite à ma renaissance. statut civil — Relations sans lendemain, jamais. Relations éphémères, trop d'amour présent dans toutes les fibres de mon corps pour n'aimer qu'un seul être. Célibataire à jamais, amoureux du monde entier. orientation sexuelle — Pansexuel assumé, depuis aussi loin que je m'en souvienne. Amour offert à qui le souhaite, sans distinction de genre. familier — Squicure, l'écureuil gris. Une petite bestiole bien plus vive que moi-même, qui m'accompagne dans tous les instants de ma vie. magie — Florakinesis au IVe temps, les ombres me résistent mais le divin m’entoure de sa lumière protectrice.

caractère Perché — Les années à consommer diverses drogues ont légèrement altéré mon cerveau, et ma perception en général. Il m’arrive souvent d’avoir des retours d’acide malgré que je me suis calmé sur la consommation depuis un petit moment. C’est souvent durant ces retours d’acide, ou lorsque je consomme des champignons hallucinogènes, que je communique avec Zeddhis.

Rêveur — Je passe beaucoup de temps dans mes pensées à rêver d’un monde uni, à espérer la fin des guerres diverses qui gangrènent le monde.

Niais — Vous voyez ces princesses Disney un peu nulles qui prônent l’amour et la gentillesse avant toute chose? Bah moi, c’est un peu pareil. Je suis une princesse Disney.

Actif — Etant petit, on m’aurait diagnostiqué avec de l’hyperactivité. Toujours partant pour faire des choses manuelles, surtout si elles demandent de courir dix kilomètres ou d’escalader des rochers à une hauteur vertigineuse. Avec la drogue je me suis un peu calmé, même si des pics d’énergie me font faire des danses étranges dans la forêt autour des arbres (avant de les enlacer comme des amants, promis, je ne suis pas dendrophile).

Enfant du monde — Je n’ai pas suffisamment voyagé à mon goût dans cette vie-là, mais je me considère tout de même comme la descendance de tout peuple qui arpente cette terre. Je viens de partout et de nulle part à la fois, mon esprit est connecté au vivant bien au-delà de cette barrière artificielle.

Anticonformiste — La société, elle a un peu de mal avec les gens comme moi. Je ne fais rien comme tout le monde. Je n’aspire pas à avoir de l’argent, un travail stable, une famille, ne serait-ce qu’un ou une compagnon. J’aime le monde mais n’y suis pas à ma place, et pourtant…je considère l’endroit où je me trouve comme mon foyer. Sans domicile - si l’on enlève la maison de mes parents où je rentre parfois, histoire de laver mes affaires et les embrasser - je squatte régulièrement chez ceux qui ont la gentillesse de m’accepter. A moins qu’ils soient trop polis pour me le refuser…

— idéologie et rumeurs —


idéologie Vivre en harmonie avec tous les peuples de l’univers, voilà la véritable idéologie que je suis. Mais qu’est-ce qu’une idéologie, vraiment? A-t-on le droit de l’imposer aux autres? Ah…c’est parce que nous suivons tous une idéologie particulière que nous ne pouvons nous embrasser dans la félicité. Évolutionniste dans mon coeur et mon âme, je rêve d’un jour où les guerres entre les peuples n’existent plus, un jour où nous nous mêlerons aux humains pour leur offrir notre unique perspective.

rumeurs L’autre jour, il a clamé être “en partie rillette, du côté de ma mère.” Aucune idée de ce que ça veut dire, mais il s’est fendu la poire pendant trois quart d’heure. — Il connaît trois coins à champignons. Ne me demandez pas ce que ça signifie. — “Il a l’air complètement perché celui-là, non?” “Bof. C’est un Zeddhis. Classique.” — Il paraît que Zeddhis prend la forme d’un champignon danseur pour lui parler. A mon avis, il a un peu trop abusé des hallucinogènes. — Celui-là, si je le revois, je lui pète la gueule! Il a osé baiser ma soeur, ma femme et mon cousin…LA MÊME SEMAINE. Peace & love mon cul! — Il paraît que c’est un loup-garou. Il disparaît toujours à la pleine lune, c’est très suspect!


Astraâge; Club des 27 baby géo; France normalement. perso; inventé


— chronologie et anecdotes —


chronologie 1986 — L’enfant des Hawke est né, d’une union entre un Zeddhis et une Rhiat. La magie florale coule déjà dans mes veines, l’amour de la nature qui n’est qu’une extension de mon être. Baptisé Zephyr d’un commun accord; prénom mixte, de la part de deux adultes progressistes qui préfèrent prévenir que guérir. Toute identité de genre est acceptée dans cette maisonnée, l’amour prôné plutôt que la haine et l’incompréhension. Aimé sans condition dès mon premier cri, c’est ce que je souhaite à tous ceux qui voient le jour sur cette planète.

2002 — Une enfance heureuse, dans l’amour de mon prochain, qui se transforme en une adolescence à problèmes. Oh, pas vraiment de problèmes avec mes parents, ces véritables anges sur terre; des problèmes personnels, issus d’un cerveau en constante ébullition et d’un corps inépuisable. J’entre à l’Institut et déjà je me rends compte de plusieurs choses: que les hormones ne sont pas une partie de plaisir, que rester enfermé des heures n’est pas du tout fait pour moi, et que le monde est incroyablement cruel avec ceux qui le composent. C’est à cette période, je crois, que j’ai fait le voeu pieux d’offrir le plus d’amour possible à ceux qui entrent en contact avec moi.

Les cours deviennent de plus en plus difficiles à mesure que mon cerveau se développe, je ne parviens pas à suivre, la nature m’appelle. Pour m’aider à me concentrer, quelques amis me proposent de la Zelkova, drogue phare de notre coventus. Contre toute attente, cette solution fonctionne: je parviens à rester calme suffisamment longtemps pour emmagasiner la théorie magique, et ne pas complètement rater mes études.

2007 — Le diplôme obtenu de justesse, davantage grâce à la pratique qu’à mes réponses sur une feuille blanche. Cela fait déjà quelques temps que je suis en contact avec la Phacélie de notre coventus, qui apprécie beaucoup ma compagnie - et moi la sienne. Devenir son apprenti est un privilège qui n’étonne personne; je commence à tester de nouvelles drogues, moi aussi, sans quitter ma fameuse Zelkova. Les hallucinogènes me plaisent particulièrement, surtout les champignons. D’ailleurs, savez-vous qu’il existe plus de deux cents espèces de champignons magiques? Ca en fait, des omelettes rigolotes!

Peut-être que mon accoutumance date de cette période, peut-être un peu plus tard, j’en sais foutrement rien. Plongé entre mon nouveau travail, ma dévotion à Zeddhis et ma vie sociale de plus en plus vaste, je n’ai pas compris tout de suite. Au moment où l’addiction s’est imposée dans mon esprit, il était trop tard.

2013 — La nouvelle Phacélie, après quelques années d’apprentissage. Un travail d’endurance plus que de compétence, un investissement quotidien que je prends très au sérieux sous mes airs de légèreté. Mes besoins me portent de plus en plus vers les différents hallucinogènes, je vais jusqu’à tester ce qui provient des humains, juste pour comparer. Je prends des notes, donne mes impressions, propose des alternatives.

En parallèle, mon comportement change de plus en plus. Exit l’hyperactivité quotidienne, place à une certaine mollesse, une voix traînante et une compréhension du monde extérieure qui laisse à désirer. Je suis perché en permanence, j’oublie où je me trouve, ce que je dois faire. La lucidité se fait de plus en plus rare, mais à ce moment-là, je ne comprends pas encore que je suis en mauvaise posture.

2016 — Mon état empire, et ma magie commence à me faire défaut. Mes parents déjà inquiets tentent de me faire entendre raison; ils envisagent une désintoxication, que j’accepte lors d’un rare moment de lucidité. Cependant, trop accroché à mes substances, je préfère quitter le foyer familial du jour au lendemain, et me réfugie à droite à gauche chez des connaissances. Je vis ainsi aux crochets des autres, sans honte, à me défoncer au quotidien car vivre un instant sans ces substances est bien trop douloureux pour moi.

On finit par me refuser l’asile, prétextant que je suis invivable ainsi perché à zoner sur le canapé. Mes pas me mènent alors dans la forêt proche, errant sans but, le cerveau encore perdu dans une brume qui altère mes sens. Je marche jusqu’à une petite clairière, où je m’effondre à genoux. Les vestiges de ma magie touchent la terre, font pousser des girolles au pied d’un arbre et des Psilocybes déjà bien installées dans le tas de bois pourrissant non loin. Deux nouveaux coins à champignons rien que pour moi, pour m’accueillir dans mon nouvel habitat.

Je reste trois jours et trois nuits dans cette clairière, à me nourrir de ce qu’elle a à m’offrir. Trois jours à halluciner, loin d’une civilisation que je ne comprends pas, seul avec une nature qui m’accueille à bras ouverts. Et puis au bout du troisième jour, il apparaît devant moi.

Ce n'est qu’une ombre au départ, un murmure, une silhouette sans véritable forme. Puis, celle d’un immense champignon coloré se dessine, un champignon qui me paraît immédiatement familier. Zeddhis se tient face à moi, son aura impressionnante m’entourant. Il m’ordonne de me relever, d’embrasser son culte et de me reprendre en main.

J’ai regagné la maison familiale, embrassé mes parents qui étaient définitivement inquiets, et leur ai parlé de mon aventure champêtre. Durant de longues semaines, je rejoins le temple pour y prier, chercher à renouer le contact avec Zeddhis; en vain. Désespéré, régulièrement en manque puisque j’essaye déjà de ralentir ma consommation à cette époque, je tente de me raccrocher au divin qui ne semble pas vouloir de moi. Cependant une main m'est tendue en ces lieux sacrés, une main secourable qui m’offre une nouvelle perspective. Je ne la prends pas encore…mais l’idée restera dans un coin de mon esprit pendant un temps.

2017 — L’année charnière de ma vie, celle où j’ai enfin pu embrasser qui j’étais censé être depuis tout ce temps. J’ai quitté officiellement mes fonctions de Phacélie, après avoir terminé la formation de mon successeur. Ma désintoxication est rude, faite de hauts et de bas - surtout de bas, si je veux être totalement transparent. Chaque rechute est un coup de poignard dans le coeur, et me mène à cette fameuse clairière où je communie avec la nature. Zeddhis apparaît parfois, toujours sous cette forme incroyable, comme un réconfort qui m’aide à reprendre pied petit à petit. Des encouragements de la part de mon divin, un retour à la civilisation qui se passe bien mieux désormais, mais une cervelle encore abîmée par les années de consommation. Pourtant, j’aime cette nouvelle vie qui s’offre à moi, cette véritable renaissance. Je ressens ces bouffées d’amour que je veux donner en retour à tous ceux que je croise, je suis reconnaissant envers chacun d’entre eux, envers mon divin lui-même qui m’a mené à cette rédemption. Mes visites au temple se font toujours plus régulières, jusqu’à ce que je finisse par ne plus le quitter. Aidé - peut-être un peu pistonné - par une certaine autre Fumeterre favorite de Zeddhis, j’entre moi aussi dans les ordres et officie bientôt à ses côtés. Ensemble, nous faisons passer le message d’un être si beau, si puissant de par cet amour qu’il voue à ses sujets. Le message de la nature elle-même.

2022 — Rien n’a vraiment changé ces dernières années, pour moi. L’adoration que je voue à Zeddhis me protège des fléaux qui gangrènent la Communauté, mais je ne pense pas que les divins soient responsables de ces fameuses Tragédies. Zeddhis m’apparaît toujours comme étant cet être suprême bienveillant, je n’imagine pas qu’il soit capable de punir ceux qui osent ne pas le vénérer. J’apporte la paix aux malades, remplis leur coeur d’un amour débordant, leur offre tout ce que j’ai à offrir. J’ignore la douleur et la peine, la haine glisse sur une carapace d’indifférence, ma bonté compense l’horreur du monde réel. Un peu de légèreté, de douceur, d’amour dans cette vie rude. Des fleurs sur chaque tombe, un rayon de soleil dans chaque vie. C’est pour cela que j’ai été choisi, arraché des abysses.

anecdotes Il chante des chansons en vieux celtique aux champignons pour les rendre heureux. — Son visage se couvre entièrement de taches de rousseur au soleil, ça lui donne un côté mignon. — Il a de très nombreux retours d’acide depuis des années, aussi sa voix est traînante et il peut autant être hyperactif que mou du genou. Il lui arrive également d’éclater de rire sans raison, comme ça. — Il se rend régulièrement dans la forêt pour faire des rituels dans une clairière, où il se met parfois complètement nu, persuadé qu’il se rapproche de la nature ainsi. — On a souvent accusé à demi-mots ses parents de l’avoir détruit au point de le faire plonger dans la drogue, comme s’ils étaient responsables par le biais de mauvais traitements ou autres. A ces accusations, Zephyr se met généralement à rire de bon coeur plutôt que de s’énerver.

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